une émission sur l'ADN
EN FRANCE
Officiellement, les tests génétiques dits “récréatifs” sont interdits dans l’Hexagone. Ils ne peuvent être demandés que selon des motifs prévus et encadrés par loi : par un médecin à des fins thérapeutiques, par un juge pour une recherche en paternité, par la police dans certains contextes. Cela n’empêche pas Ancestry DNA ou 23andMe de démarcher sur le territoire français. À plusieurs reprises, la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) a alerté sur le danger que peuvent constituer ces tests ADN, et pas seulement sur le plan légal. Récemment, elle est de nouveau montée au créneau après que GlaxoSmithKline est entré dans le capital de la start-up 23andMe, une participation qui permet au laboratoire d’accéder aux données génétiques collectées. “Si l’objectif annoncé est de trouver de nouveaux traitements, il n’en reste pas moins que ce rapprochement suscite des inquiétudes quant à la protection de la vie privée des clients de 23andMe”, commente la Cnil.
/https%3A%2F%2Fwww.france.tv%2Fimage%2Fvignette_16x9%2F800%2F450%2Fe%2Fd%2Fd%2F8af30896-php3ahdde.png)
Complément d'enquête ADN pour tous : miracle ou cauchemar ? ADN : la foire aux tests
Sur Twitter via @Cdenquete. Moyennant moins de 100 euros et un échantillon de salive, des laboratoires américains et israëliens révèlent à leurs clients d'où viennent leurs ancêtres, leur ...